226) i swear i thought so once
je veux ça. pour porter avec mes jupes. d'ailleurs tu le savais, toi, que pataugas ça vient pas du tout de patauger, et c'est bien dommage parce que je me disais justement que si je me les payais (faut allonger 180 euros quand même je te signale) j'irais bien sauter dans deux trois flaques. je suis déception.
ah et puis fais-moi penser à rendre la cochonnerie que je me suis acheté à haché m. y a pas si longtemps (genre un blouson en peau de synthétique retourné garanti non-traité), je me suis rendu compte que tout le monde en avait et qu'en plus c'était triste à crever. finalement je préfère me trimbaler le manteau rouge fluo de ma grand-mère, au moins y a pas d'ambiguité quand on te regarde dans la rue.
by the way. quand blondie sera reparti je crois que je retournerais vivre à y-grec. v. commence à me faire sérieusement chier, je veux dire t'as vu comme on s'emmerde ? les gens dans les bars ont tous 5 ans de plus que nous quand c'est pas de moins et c'est pire, pourquoi m'infliger ça, quand je peux me laisser aller à la force centrifuge de l'école, les cours, les assoces (yaaah reprendre le foot !), la réhydratation au pichet de bière, les soirées cagoles et les navettes absentes ?
en plus y a les campagnes qui commencent et j'ai une liste pipo à mettre sur pied moi messieurs dames, et la soirée de révélation des listes tombe bientôt.
j'oubliais : si qqun a un stage à me proposer dans une boîte over-cool supah-trendy du 1er juillet à fin décembre, je prends. mais si c'est de l'audit chez ernst je prends aussi.
luv'.